Migration web de mes applications ou mourir. Vraiment ?

Le temps est venu de migrer de technologie et votre directeur TI ne jure que par le Web. Il veut que toutes vos nouvelles applications (ou presque…) soient « Web ».  Son argument majeur étant que toutes ces applications web seront beaucoup plus faciles à déployer et à maintenir. Vous sauverez donc des frais importants sur ces deux plans. Devez-vous faire une migration web?

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iPhone : bon choix pour mon entreprise ? Oui, Monsieur…

D’abord, rendons à César ce qui revient à César; BlackBerry-RIM a fait école, que dis-je, a écrit le livre d’utilisation des SmartPhones en entreprise afin d’améliorer la Productivité de la Force de Travail Mobile et la Satisfaction de la Clientèle.  De plus, RIM s’est faite une marque de commerce aux dépens des fabricants d’appareils mobiles traditionnels tels Nokia, Palm, Motorola, etc., et ce, principalement sur le plan de l’innovation.

En effet, tel qu’abondamment documenté sur le Web et plus récemment décrit dans un autre billet de votre serviteur, RIM a notamment jeté les bases de la réactivité en temps réel, tant Ventes et Marketing que Service et Support, grâce à sa technologie « Push Mail » et à ses serveurs BES. Ce qui n’est pas rien mais l’évolution technologique étant ce qu’elle est, il faut être constamment aux aguets afin de se maintenir au sommet; et ce qui devait arriver… arriva !

Depuis l’arrivé du iPhone d’Apple et de tous ses émules de téléphone intelligent y incluant le tout aussi prometteur Android; le débat fait rage : y a-t-il un vrai concurrent au BlackBerry comme outil de productivité pour votre Force de Travail Mobile ?   Jusqu’à tout récemment encore, posez la question, c’était y répondre : aucun autre appareil n’offrait à la fois productivité, sécurité et contrôle (facilité de Gestion) pour l’usage en entreprise.

Surprise !  Cela n’est plus…

iPhone d’Apple : un succès indéniable… sur toute la ligne

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La Gestion des Attentes Client : réflexions d’un entrepreneur TI (14)

On ne compte plus le nombre de projets TI qui se sont soldés par un échec relatif : échec sur le plan des budgets et / ou des échéances, cela est assez commun au point où cela semble être presque perçu comme normal aujourd’hui, même si ça ne devrait pas être le cas.  Ce dont on parle moins souvent toutefois, c’est des échecs sur le plan des attentes du Client.

La raison en est fort simple; lorsqu‘il y a divergence sur ce plan entre le Client et le développeur TI, le processus de développement logiciel amène presque toujours les deux parties à conclure que des besoins nouveaux sont apparus en cours de projet ou que des besoins initiaux n’ont tout simplement pas été identifiés à l’origine du projet.

Ces deux hypothèses de travail couvrent une large partie des cas. Mais, pas tous, et la réalité est parfois toute autre et aussi toute simple !

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5 écueils à éviter au démarrage d’un projet TI

Michel Martel, entrepreneur de métier, et analyste-programmeur de formation, ne cesse de parfaire, peaufiner, raffiner ces techniques de démarrage de projet afin de toujours en assurer l’alignement avec les objectifs d’affaires.

Analystik a d’ailleurs investi massivement ces dernières années dans la mise en place de la méthodologie Agile-SCRUM mais aussi dans la formation / certification CMMI !  Et la raison en est fort simple, malgré tout ce que l’on peut dire, aux dernières nouvelles, les statistiques sont toujours les mêmes en termes de Gestion de Projets TI; plus de 83% dépassent soit les budgets, soit les échéances… parfois les deux !

Quelle en est la cause ?  Quels en sont les causes ?  Difficile à dire; cependant, on peut essayer d’identifier les écueils à éviter au démarrage d’un projet TI ?

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Silverlight : et la lumière fût ou fût-elle… futile ?

Dans la foulée des mises à jour et des lancements de nouveaux produits.

Silverlight se rapproche lentement mais sûrement du quatuor de tête que constituent:

  1.  Windows OS/Server;
  2. Office Suite;
  3. le framework .Net;
  4. SharePoint.

Et pourquoi Microsoft déploie-t-elle tant d’efforts à mousser Silverlight ?  Et pourquoi devrions-nous utiliser Silverlight ?  Que veut Microsoft ou encore que propose-t-elle de nouveau en Web avec Silverlight ?  Et n’allez surtout pas croire que je veux là entamer un autre débat entre le bien et la mal.  Non,  nous n’entrerons pas ici dans la  confrontation « Open Source »  vs « .Net ».  Non le but de cet exercice est de mettre en lumière les particularités des différentes approches pour le développement d’applications Web et la conception de sites Web en regard, à la fois, de l’étendue des fonctionnalités, de la qualité de  l’expérience utilisateur et de la capacité d’intégration avec l’environnement TI des entreprises.  Nous voudrions ainsi pouvoir dégager l’offre ou, à tout le moins, circonscrire le positionnement de Silverlight.

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Variations du coût d’entretien d’une application TI – l’architecture

La 2e question à cent mille balles, comme disent nos amis Français : combien cela coûtera-t-il à « maintenir » cette application ?   Dans ce dernier billet, nous nous concentrerons principalement sur l’Architecture alors que nous avons couvert la Documentation dans le billet précédent.

La liste des facteurs ayant un impact sur les coûts d’entretien d’une application TI ne se limite pas à ces deux facteurs, mais ce sont, à notre avis, les deux principaux.

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Réflexions d’un entrepreneur TI (7) : variations du coût d’entretien d’une application TI

C’est l’autre question à cent mille balles, comme disent nos amis Français : combien cela coûtera-t-il à « maintenir » cette application ?   Dans ce cas-ci, par contre, la réponse ne relève pas de mille et un facteurs mais bien de deux facteurs dominants qui feront varier le coût d’entretien; soit, principalement, l’architecture et la documentation !

S’agit-il d’un billet sur la Gestion de Projets ?  Loin de là.  Et Dieu sait que la gestion de Projets a fait couler beaucoup d’encre en TI depuis une décennie et que cela mériterait toute une série de billets en soi… que nous ferons peut-être en 2010.  Mais pour les besoins de ce billet, nous prendrons pour acquis que tous les développeurs appliquent de bonne pratique en matière de Gestion de Projets.

La liste des facteurs ayant un impact sur les coûts d’entretien d’une application TI ne se limite pas à ces deux facteurs, mais ce sont, à notre avis, les deux principaux.

Variations libres sur un thème de « Maintenance » d’une application TI

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Réflexions d’un entrepreneur TI (6) : variations du coût de développement d’une application

C’est la question à cent mille balles, comme disent nos amis Français : combien cela coûtera-t-il à développer cette application ?   Malheureusement, la réponse n’est jamais simple et jamais unique car il y a mille et un facteurs qui en feront varier le coût de développement… dont la méthodologie de travail et la notoriété de l’entreprise soumissionnaire ne sont pas les moindres !

Le client saisit-il bien toutes les subtilités et les implications sur le plan du développement logiciel de ses objectifs d’affaires ?  Veut-il une couche importante d’Intelligence d’Affaires ?  Quelle est la nature et l’état de son environnement TI actuel ?  Y a-t-il conflit en perspective ou incompatibilité entre l’application souhaitée et les systèmes / applications en place ?  Faudra-t-il développer d’autres applications ou mettre en place d’autres systèmes afin d’arrimer cette application ?   Dans quelle mesure, cette application est-elle critique à l’atteinte des objectifs d’affaires  de l’entreprise du client et si c’est le cas, devrons-nous remplacer certains systèmes en place ou en implanter d’autres ?  Devrons-nous optimiser certains processus des applications en place afin d’harmoniser l’interaction avec l’application développée ?  Quelle méthodologie le développeur utilisera-t-il ?  Quelle est l’architecture retenue ?

S’agit-il d’un billet sur la Gestion de Projets ?  Loin de là.  Et Dieu sait que la gestion de Projets a fait couler beaucoup d’encre en TI depuis une décennie et que cela mériterait toute une série de billets en soi… que nous ferons peut-être en 2010.  Mais pour les besoins de ce billet, nous prendrons pour acquis que tous les développeurs appliquent de bonne pratique en matière de Gestion de Projets.

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Réflexions d’un entrepreneur TI (5) : gérer les attentes du client

La pénétration des TIC en entreprise et le rôle stratégique qu’elles ont tcquis dans le développement des affaires font en sorte qu’aucun projet TI n’est un vase clos.  J’entends par là que tout projet tTI a un impact sur d’autres départements et/ou applications et/ou processus d’affaires et/ou ressources que ceux et celles qu’il touche directement.

Conséquemment, la gestion d’un projet TI consiste aussi en bonne partie à gérer les relations avec d’autres départements. Les impacts sur d’autres applications et d’autres processus ainsi que sur d’autres ressources.

Il n’est pas toujours facile de naviguer sur des mers dont on ne connaît pas toujours bien les courants !!!  Alors comment ne pas nuire à la productivité de l’entreprise et de ses ressources ?

Les mille et un visages du Client

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Base de Données vs CRM – 12 questions fondamentales

Beaucoup d’entreprises implantent l’un et/ou l’autre et pas toujours pour les bonnes raisons; ce qui peut s’avérer coûteux non seulement en termes de frais. Mais, aussi en termes de Productivité et de Développement des Affaires. Et l’un ne va pas obligatoirement avec l’autre.  Enfin, pas toujours et pas nécessairement.

Tout le monde est en mode CRM depuis le début du  Nouveau Millénaire; CRM 1.0, CRM 2.0, Social CRM, CRM-in-the-Cloud, etc., le buzz de l’heure, quoi ?  On oublie, étonnamment, que la décennie ’90 fut l’âge d’or de la Base de Données; toutes les entreprises investissaient massivement dans une Base de Données (BD).  Qui ne se souvient pas de Visual FoxPro qui tenait à la fois de BD et de langage de programmation ?  Mais, c’était une autre époque…

Le fait est qu’un CRM sophistiqué avec des fonctions avancées de Gestion ou des extensions plugins Médias Sociaux; cela ne compensera jamais pour les lacunes ou l’absence d’une BD qui ne traduit pas votre réalité d’affaires.  De même, vous ne vous en tirerez pas mieux si la BD de votre CRM doit interfacer avec plusieurs systèmes de votre entreprise.

Quand il faut choisir entre CRM ou BD, il faut évaluer les besoins qui varieront selon la taille de l’entreprise, le secteur d’activités et surtout, la taille de la Force de Ventes/Service à la Clientèle et de la Base de Clients.

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Ventes : Les outils de conversation – Médias Sociaux et CRM

la liste d’outils de conversation s’allonge…

Non mais c’est effarent à quel point les d’outils de Conversation se multiplie depuis le début 2009. Et cela me donne à penser…

D’une part, je parle d’outils de Conversation car c’est bien de cela dont il s’agit, nous sommes d’accord. Tous ces outils servent à mieux converser avec  le Client, ou à tout le moins, à maintenir la Conversation ou suivre le fil de la Conversation, sur de multiples plates-formes et sur de multiples sujets avec de multiples personnes.

Ainsi, non seulement la frontière devient de plus en plus transparente entre le « perso » et le « pro », c’est toujours le temps de travailler et c’est toujours le temps de s’amuser, mais aussi, et conséquemment; les représentants deviennent des Agents de marque, ils véhiculent et affichent leur position/profession dans leurs réseaux perso et affichent/utilisent leurs réseaux perso au boulot !!!  Responsabilité étendue, quoi; d’aucuns diraient, augmentée.

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La relève TI au Québec – Réflexions d’un entrepreneur TI

Dans notre billet précédent, nous avons discuté des pressions imposées aux développeurs par l’évolution rapide des technologies mises en marché.  On concluait qu’avec le besoin de SAVOIR, l’emphase en entreprise est passée présentement du contenant au contenu. En tant qu’intervenant du monde des TI, il faut s’ajuster et rapidement…  Il faut savoir conjuguer les technologies offertes et les besoins des différentes clientèles (usagers, dirigeants et département TI).  Dans ce billet, nous tenons à souligner qu’il faut ajouter à cette équation la problématique de la relève.

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Réflexions d’un entrepreneur TI (2) : le chaos techno

Quand je regarde l’évolution, que dis-je, l’explosion des technologies, des environnements TI et des modèles d’affaires proposés ces dernières années; honnêtement, en tant qu’intervenant du monde des TI, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver. Quel chaos techno!

Comment identifier les technologies gagnantes ou les entreprises-fournisseurs de technologies qui proposent des modèles d’affaires « gagnant-gagnant-gagnant » ?  Si, si, vous avez bien lu; 3 fois gagnant comme dans « client-fournisseur-développeur ».  Si vous avez une réponse toute simple et infaillible à cette question; prière de m’appeler ASAP !

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Demande d’applications mobiles en entreprise : portrait du Québec

Suite à notre article précédent sur la demande d’applications mobiles en entreprise au Québec. Parce que nous divergions d’opinion sur le sujet; j’ai demandé à mon consultant en marketing interactif de faire enquête.  Ce qu’il fit promptement.

Le ralentissement économique mondial a-t-il causé une baisse de la demande d’applications mobiles en entreprise ?  Est-ce que l’entrée en scène de l’iPhone a  entraîné une baisse de la demande d’applications mobiles en entreprise ?  La gen-X et la gen-Y, ont-elles entraîné une baisse importante de la demande d’applications mobiles d’affaires; au détriment d’applications plus « cool & chill » ?  Rappelons qu’en fait, je me demandais ce qu’il en était plus précisément de la demande d’applications mobiles sur mesure en entreprise.

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Demande des applications mobiles en entreprise : obstacles en vue

Depuis plusieurs mois, dans mes mandats de développement logiciel et d’intégration qui se traduisent souvent par l’amélioration d’un processus d’affaires, je constate qu’un mandat sur deux pourrait être grandement rehaussé par l’intégration d’un volet ou d’un prolongement « applications mobiles » à ce développement.

Curieusement, les demandeurs  (clients) refusent presque systématiquement d’intégrer le volet « mobile » aux améliorations requises ou au développement exigé.  Conséquemment, lorsque l’on fait du développement pour mobile, c’est presque toujours dans le cadre d’une requête spécifique pour une fonctionnalité très précise à « mobiliser ».   Et je ne parle même pas de Mobilité 2.0, ou si vous préférez, d’applications mobiles qui interfacent avce les réseaux sociaux, par exemple.  Alors, je me pose la question.

 

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